mercredi, janvier 04, 2006

Infligé, un patchwork de souffrances difforme
me terrasse et libère les cieux !
L'ombre portée sur la peau
se traîne sur ma maigre figure.
Les mêmes démons ont eut parfois un après-midi entier
pour pouvoir sans aucun doute m'enfermer.
J'ai agi de manière à ce que la faim celle,
précieuse, chargée de souvenirs, ne tombe pas !
Pour un premier pas dans le troisième millénaire de mes trois heures.
Aujourd'hui j'ai fais tout pour être rassuré :
tuer les microbes et l'étreinte.
J'ai fait ce projet insensé, sournois
d'un autre voyage
dans le monde des faux semblants.
Quelque chose y vit - néant -

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