mercredi, janvier 04, 2006

La guerre des mondes, quatre ou cinq jours pour que le virus se diffuse.
Faut-il plus de combats d'E.T. Et de soucoupes
contre un gigantesque système scolaire
où chaque évêque passe pour protéger l'humanité ?
Elle s'engage dans l'armée, telle une jeune inconnue,
excellente combattante, dangereuse, terriblement efficace,
farouche guerrière aux techniques inédites.
Elle élève au loin sa voix pour marquer
ostensiblement le cri bleu de la mièvrerie
du mouvement féministe des androïdes femelles.
Car, malgré les apparences,
quand elle dicte des oeuvres en réactions,
plongé au coeur des événements de New York,
elle est toujours la seule à conserver la tête bien droite.

La seule solution pour faire front aux créatures sauvages,
pour la communauté,
est de laisser monter les militaires,
sachant comment les hommes souffrent et jouissent
de leur potion magique freudienne.
Elle ne tenait pas à ce que ses habitants
mettent en présence le processus créatif de la nature
face au sang comme offrande.

L'histoire prend alors une tournure ahurissante :
On voit l'ironie forte des rêves d'épuration
de la communauté des emplois de balayeur
beaucoup plus ambitieux que l'infantilisme
des innocents militaires en train de faire la guerre.
Sept ans plus tard c'est vrai qu'ils paraissaient beaucoup plus décédés.

Ce qui est sur c'est qu'on mange bien
à la table des envahisseurs d'Outremonde,
les chattes de 12 à 14 ans les plus savoureuses,
on y compte également ce conclave corrompu-corrupteur
des cardinaux et des monsignori.
Le soleil fait le deuil du pavillon des cendres,
La bête n'a plus faim ni soif, il n'y a aucun survivant.

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